Megan'
Messages : 19 Points : 9182 Date d'inscription : 16/11/2011 Age : 28
| Sujet: Louise Labé Lun 28 Nov - 22:13 | |
| Poétesse de l'école lyonnaise formée autour de Maurice Scève, qui fut l'une des plus grandes femmes de lettres du XVIe siècle.Née Louise Charly en 1524 à Lyon, décédée le 25 avril 1566 à Parcieux-en-Dombes. Un de ces poème: Depuis qu'Amour cruel empoisonna Depuis qu’Amour cruel empoisonna Premièrement de son feu ma poitrine, Toujours brûlai de sa fureur divine, Qui un seul jour mon coeur n’abandonna.
Quelque travail, dont assez me donna, Quelque menace et prochaine ruine, Quelque penser de mort qui tout termine, De rien mon coeur ardent ne s’étonna.
Tant plus qu’Amour nous vient fort assaillir, Plus il nous fait nos forces recueillir, Et toujours frais en ses combats fait être;
Mais ce n’est pas qu’en rien nous favorise, Cil qui les Dieux et les hommes méprise, Mais pour plus fort contre les forts paraître.
Dernière édition par Megan' le Mar 29 Nov - 13:19, édité 1 fois | |
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redelberg patrick Admin
Messages : 269 Points : 9776 Date d'inscription : 10/11/2011
| Sujet: Erreur!.... Mar 29 Nov - 12:38 | |
| Il faut préciser qu'il ne s'agit pas du tout d'un portrait de Louise Labé!!!!! Il n'a donc pas réellement sa place ici! Ce tebleau représente "Une odalisque" Il a été peint au XIXème siècle par Jules-Joseph Lefebre!!!!! Il existe des portraits de Louise, en revanche!... Il faut ls rechercher!!!! - Megan' a écrit:
- Poétesse de l'école lyonnaise formée autour de Maurice Scève, qui fut l'une des plus grandes femmes de lettres du XVIe siècle.Née Louise Charly en 1524 à Lyon, décédée le 25 avril 1566 à Parcieux-en-Dombes.
Un de ces poème: Depuis qu'Amour cruel empoisonna
Depuis qu’Amour cruel empoisonna Premièrement de son feu ma poitrine, Toujours brûlai de sa fureur divine, Qui un seul jour mon coeur n’abandonna.
Quelque travail, dont assez me donna, Quelque menace et prochaine ruine, Quelque penser de mort qui tout termine, De rien mon coeur ardent ne s’étonna.
Tant plus qu’Amour nous vient fort assaillir, Plus il nous fait nos forces recueillir, Et toujours frais en ses combats fait être;
Mais ce n’est pas qu’en rien nous favorise, Cil qui les Dieux et les hommes méprise, Mais pour plus fort contre les forts paraître.
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